Je
sais, mon amour décharné,
Je
sais que ton corps grêle
Et toute
matière qu’il adhère
Ne m’appartient
pas
Ni
ta chair ni ton âme
Ah,
mais ce regard,
Ce regard
qui s’avère à chaque fois
Qu’on
se mêle, qu’on se croise ;
Ni Dieu
ni aucune femme ne me volent !
Celui-ci
n’est qu’à moi,
Il n’est
qu’à nous
Que même
toi
Malgré
tout silence
...Ne le
perds pas !
-Kamra
Malka-
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