lundi 10 mars 2014

fleur fermée à bourgeonner…

Photo : Ursula I Abresch

J’ai, parfois, envie de t’écrire. Je ne sais pourtant pas si je peux, je ne sais pas si je devrais.
(Faut pas donner de la matière pour être accusée derrière d’harcèlement…)
Je sais que tu ne m’appartiens pas, ni moi je le souhaite. Puisque je sais très bien des biens que je possède : ton regard avec le mien, nos moments et tout échange, si magique et intense qui n’ont même que de sens qu’entre nous deux. Ah, ces petits bonheurs que ta présence et que ton existence m’apportent ! Même s’ils semblent être des rêves, même s’ils nécessitent encore beaucoup à être dévoilés, découverts, explorés… !
Et je me sens ainsi, peut-être pour si peu, tellement riche et heureuse ! Et je garde avec moi, même seulement en souvenirs, le (ton) sourire le plus beau, le (ton) regard le plus profond, qui même simplement en pensée me font toujours sourire, rêver, vivre ! … Et pardonne-moi de mes maladresses… Peut-être je suis ainsi, un peu comme ça : fleur fermée à bourgeonner… ! …


-Kamra Malka-

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