Photo : Ursula I Abresch
J’ai, parfois, envie de t’écrire.
Je ne sais pourtant pas si je peux, je ne sais pas si je devrais.
(Faut pas donner de la
matière pour être accusée derrière d’harcèlement…)
Je sais que tu ne m’appartiens
pas, ni moi je le souhaite. Puisque je sais très bien des biens que je possède :
ton regard avec le mien, nos moments et tout échange, si magique et intense qui
n’ont même que de sens qu’entre nous deux. Ah, ces petits bonheurs que ta
présence et que ton existence m’apportent ! Même s’ils semblent être des
rêves, même s’ils nécessitent encore beaucoup à être dévoilés, découverts,
explorés… !
Et je me sens ainsi,
peut-être pour si peu, tellement riche et heureuse ! Et je garde avec moi,
même seulement en souvenirs, le (ton) sourire le plus beau, le (ton) regard le
plus profond, qui même simplement en pensée me font toujours sourire, rêver,
vivre ! … Et pardonne-moi de mes maladresses… Peut-être je suis ainsi, un
peu comme ça : fleur fermée à bourgeonner… ! …
-Kamra
Malka-
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