mardi 16 avril 2013




Je sais qu’il fait déjà si tard, mais comment, dans ce silence absolue à la fin de mes heures somnambules de travail, dans cette ma solitude qui me rassure, ne pas pensez à vous, ne pas avoir envie de vous écrire dans cette sphère imaginaire de mes rêves aussi somnambules, ne pas me sentir apaisée par cette douceur de votre (distante) existence… ? Existence si marquée déjà dans mon âme et dans ma propre existence, que peu importe la distance, que peu importe les silences ou les interstices, si belle, si douce et si sage… reste et restera toujours aussi radieuse dans mon esprit !...

Kamra Malka

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