Je sais qu’il fait déjà si tard, mais comment, dans ce
silence absolue à la fin de mes heures somnambules de travail, dans cette ma
solitude qui me rassure, ne pas pensez à vous, ne pas avoir envie de vous
écrire dans cette sphère imaginaire de mes rêves aussi somnambules, ne pas me
sentir apaisée par cette douceur de votre (distante) existence… ? Existence
si marquée déjà dans mon âme et dans ma propre existence, que peu importe la
distance, que peu importe les silences ou les interstices, si belle, si douce
et si sage… reste et restera toujours aussi radieuse dans mon esprit !...
Kamra Malka
Kamra Malka
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