Photo : anshu
Et si j’écris
encore dans cet univers,
C’est
seulement une partie de mon âme qui y persiste
Elle
est pourtant encore amour et désirs,
Malgré tout
ce que tu ressens
Cette
partie qui fait encore partie de ton corps
Et si
je ne sais plus où finit ton corps
Et où
commence le mien
C’est
que je sens encore ton cœur, ta chaleur, ton froid…
Je sens
le vide dans cette ta disparition…
Combien
de tout cela est amour ?
Combien
est désir ?
Peuvent-ils,
ou pas, se séparer ?
Si
depuis mon cœur jusqu’au bout de mes doigts,
Il n’y
a rien dans mon corps que tu ne fasses pas frémir
Qu’aura-t-il
de réel dans cette folie ?
Si je n’ai
pas à toi, j’ai toi – corps, âme, esprit – dans mes vers
Qui
nous ira assurer que tout cela est normal ?
C’est
déjà inutile de te raconter que j’ai déjà perdu la modération,
Je porte
dorénavant mes armures pour partir…
Et je ne sais pas où finit ton corps
Et où commence
le ciel… Il n’y reste plus aucune place dans ton cœur…
Qui
est-ce qui nous a unis dans un même vol ?
Dans
les mêmes silences ? Peut-être le même destin ?
Qui a
raison et qui a tort ? Qui n’a jamais douté de son cœur ?
Je
voudrais seulement que tu saches, je ne suis pas là pour jouer
Et c’est
à toi que j’ai écrit tous ces vers…
-Kamra
Malka-
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