Photo : Detlef Koertge
Les dieux jamais ne me pardonneront. Ainsi
comme Miguel, Louis, Benoît ou Tony… Car à toi j’ai construit un piédestal parsemé
de rêves, au-delà des cieux, dans les courbes tordues de mon destin, in absentia du temps, dans mon désert.
Devant toi, mon cœur, à genoux, s’exhausse en Soleil. Ma prière si singulière,
c’est le silence de ton nom. Et toute mon âme, à toi, j’ai offert ; pour t’aimer
au-delà de la frontière de la vie, à la lisière du monde et sous la fureur des
dieux, dans l’intime désert de ce que tu es.
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