Autant je suis adulte (la preuve est là
dans mon corps), tant je me sens comme un enfant perdu, qui pleure dans la
nuit. Ce n’est pas que je n’ai plus ton amour, celui ne m’intéresse plus,
puisque tu n’as jamais voulu me comprendre. – Justement toi qui disais
justement le contraire ! La solitude, en ces moments, me fait peur,
certes. Pourtant j’attendais beaucoup plus de lumière dans ton cœur… Si je porte le fruit d’un « acte de pitié »
et qu’aujourd’hui tu me tournes le dos (en me tâchant immature), tu n’as même
rien compris de ce qui signifie la compassion… Ce n’est pas ton amour que j’attendais
(même parce que je découvre un « menino-Olivier »
que je ne connaissais même pas, et que je n’aime pas de tout d’ailleurs), mais un
petit peu de patience et d’une autre forme d’amour, basée sur l’amitié, la
compassion, la compréhension. Mais, au contraire de ce que tu puisses penser,
je suis bien plus adulte (et humaine) et guerrière de ce que tu imagines !
Non, je n’ai pas besoin de toi, je ne serai plus jamais seule… Adiós!
-Kamra Malka-
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire